samedi 7 mars 2015

Cambodia - Phnom Penh - vue de ses rues

Vous savez maintenant que l'on aime bien découvrir les villes par leur rues et ruelles en regardant comment la majorité de la population vit.

Au final, nous avons tous trouvé que Phnom Penh est une vill grouillante ou règne une anarchie au niveau de la conduite digne de celle de Mexico.
Par contre, les rues sont moins propres (pour ne pas écrire plus sales) que celles de Siem Reap ou la population commence à prendre en compte l'importance d'une ville propre.

La catégorie trafic n'est pas triste, alors voici quelques photos prises à la volée.

Il nous a semblé que les directives de la police pour fluidifier le trafic avait souvent l'effet inverse.

Une seule règle : celui qui s'impose passe en premier, quelque soit la taille de l'engin motorisé.

Coté commerces, ils sont tous organisés en sorte de conglomérats. Nous avons vu les vendeurs de céramique, métal, produits de bricolage, etc. Leur particularité ? ils sont tous ouverts sur la rue.
Voici quelques extraits de ces rassemblement de commerces par type de matériel.

Métal en gros.

Vaisselle et ustensiles pour l'organisation de buffets.

Carrosserie des engins à deux roues. On sculpte, change, ponce, peint, répare tout en un clin d'oeil aux croisement de deux rues. Ici pas la peine de prendre rendez-vous avec son garagiste plusieurs semaines à l'avance.

On peut aussi avoir à faire à de la plus grosse mécanique, mais le concept est le même.

Castorama aurait du mal à combattre les prix et offres locales. Ici pas de frais de structure, de rayons, ou de vendeurs.

Concernant le nourriture de rue ou les stands de boissons fraîches, pas de surprises par rapport aux autres pays visités. La nourriture de tous les jours vient à vous et est ambulante.

Ici vous pouvez commander un jus de fruits frais ou une soupe.

La vaisselle est nettoyée directement à gauche sur le trottoir. Ce n'est pas signe de propreté ça !!

Puis les déchets sont récupérées de manière artisanale, à l'ancienne.

Enfin quand ils sont ramassés. Tant qu'ils ne gênent pas trop entre les pieds, pourquoi les enlever :)

L'infrastructure électrique est elle aussi sans surprise, un peu archaïque. Mais vu les moyens, ils n'est pas surprenant de constater cette imbroglio de fils, plus ou moins officiels. Vu le salaire mensuel moyen, il y a fort à parier que bon nombre de ces branchements soient en mode pirate.

Certains tuk-tuk sont aussi d'un autre temps pour les propriétaires n'ayant pas pu investir dans un tricycle tout neuf.

De notre coté, nous avons aussi favorisé ce moyen de transport pour nos quelques visites libres, permettant de naviguer entre les bouchons.

1 commentaire:

  1. On ne sait pas trop comment ils passent leur permis de conduire dans ce pays! Sur piste et pas dans la circulation, si c'est au petit bonheur la chance, il n'y a pas d'examen possible!!
    Les petits commerces sont sympa, tu trouves forcément ce que tu cherches ;-)

    RépondreSupprimer