N'oublions pas que la communauté chinoise est la plus importante de Singapour. Alors impossible de manquer un petit tour dans Chinatown.
Nous reviendrons rapidement avec un autre article sur Chinatown vu d'une autre manière. Corine a expérimenté au travers d'une visite beaucoup plus historique une autre approche que la visite dont nous allons vous donner un bref aperçu.
Les rues de Chinatown sont à priori souvent décorées avec un ensemble de boules et lanternes en papiers. Très sympa de se promener dans les ruelles étroites remplies de petites échoppes ou l'on trouve des articles en tous genres, allant du porte clé à la possibilité de se faire confectionner un sceau personnalisé à son nom traduit en chinois. C'est la face touristique du quartier et l'ambiance est belle et bien là. Remarque à chaud de Tom : "Trop Bien !!"
La chine est vraiment présente jusqu'aux inscriptions sur les immeubles des résidents. Pour les chinois, en chine ou en dehors de la chine, on est chinois avant tout..
Le temple du quartier était ouvert à la visite, alors ni une ni deux, nous nous y sommes engouffrés. Le bâtiment est parmi un des plus ancien du quartier et l'ensemble de l'intérieur est totalement recouvert de bois laqué rouge.
Une fête ou cérémonie était en préparation, mais j'admets ne plus me souvenir de laquelle exactement. Alors dans le doute je m'abstiens.
Après cette rapide visite, direction le marché souterrain de Chinatown pour faire quelques courses, légumes, fruits, poisson, etc.. Ce type de marché est appelé "Wet market". Nous posterons bientôt un article sur le Wet Market proche de notre résidence : Le whampoa.
Toujours des étalages où l'on peut éventuellement acheter quelques bananes et rien d'autre.
Très surprenant la possibilité d'acheter des coquilles saint-Jacques séchées. Nous nous sommes contentés d'un paquet de mangues déshydratées.
Arrivée au sous-sol pour faire nos emplettes.Un peu tard malgré tout, pour bénéficier de tous les commerçants. Nous avons tout de même pu trouver quelques légumes et fruits avant de tomber sur le poissonnier.
Et quoi de plus naturel qu'un poissonnier qui coupe le poisson à la hache sur un billot de bois, lavé dont on ne sait quand, et torse nu. Il est vrai que le brave homme transpirait, alors autant se mettre à l'aise.
Cela ne nous a pas empêché de prendre des belles tranches de saumon que nous avons depuis consommées. Délicieux et sans désagrément technique.