samedi 29 novembre 2014

Beijing - Le temple du ciel... On aime jouer

Autre instant, autre visite. Alors direction le temple du ciel pour cette nouvelle étape de découverte.
Lors de l'entrée sur ce nouveau site ; que vous verrez dans le prochain article ; nous sommes arrivés face à une grande allée abritée par un immense préau tout en longueur.

Sans comprendre ce qu'il se passait, nous avons vu un grand nombre de personnes, toutes agglutinés sur les rambardes séparant le préau de l'extérieur.

Mais "Que paso ???"

Nous avons rapidement compris que toutes ces personnes regroupées en peloton étaient tout simplement entrain de jouer. Jouer aux dames, aux échecs, aux cartes et à toutes sortes d'autres jeux.

Certains étaient même venus avec leurs oiseaux.

D'autres en spectateurs attentifs postés autour des échiquiers chinois.

Quoi qu'il en soit chacun s'affairait à jouer, la table de jeu posée sur la rambarde servant aussi de chaises. Système D oblige.

Concentration maximum..

Avec certains personnages encore hors du temps, de part leur posture ou costumes.

 Limite ambiance Macao l'enfer du jeu ou la mafia asiatique veille au grain..

Et certains jouaient en solitaires sur de très très drôles d'instruments jusque là encore jamais rencontrés.

Un autre monde, et encore de beaux moments capturés sur la dalle digitale de mon appareil..

4 commentaires:

  1. Il y a de nombreux endroits à Singapour aussi où les anciens apportent leur oiseau pour l'écouter chanter au milieu des autres oiseaux, souvent aux abords des food court ou des wet markets.
    Par contre jamais vu cet instrument ! Mais j'adore cette dernière photo !
    Stéphanie

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  2. C'est chouette cette ambiance! Par contre le plateau en équilibre sur la rembarde c'est risqué....
    J'adore également la dernière photo, très belle! Et est ce que la musique était mélodieuse?

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  3. La musique ressemblait à celle du bar "la Cantine" dans le premier star wars lorsque Luke et Ian solo cherchent à regagner leur vaisseau et qu'il y a une petite rixe.
    En gros un peu de cornemuse revisitée.

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